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Écrire un article dans Pyrénées Souterraines
Pyrénées Souterraines est une revue ouverte à tout auteur d’articles en rapport avec le monde souterrain sur l’ensemble de la chaîne Pyrénéenne, versant espagnol compris. Cependant, le contenu doit être conforme à la ligne éditoriale. Pour simplifier, celle-ci privilégie les informations inédites sur une cavité, un massif etc., les travaux de synthèse, les études à caractère scientifique ou historique contrairement aux simples comptes rendus anecdotiques qui seront probablement refusés par le comité de lecture.
Mais écrire un article n’est pas une démarche évidente pour tout le monde, tant sur le fond que sur la forme. Le comité de lecture de la revue se propose donc d’aider et d’assister les auteurs dans toutes les étapes de la rédaction de leur article (choix du sujet, écriture du texte, illustrations, topos…). N’hésitez pas à nous contacter pour en discuter.
Par ailleurs, pour simplifier le travail de mise en page et pour uniformiser le contenu et la présentation il est important que chaque auteur s’applique à respecter un certain nombre de normes. Si certaines vous posent problème n’hésitez pas également à nous contacter, celles-ci ne doivent en aucun cas entraver votre volonté de publier.
Conseils aux auteurs
Les textes, notes, photographies et dessins n’engagent que la responsabilité des auteurs.
Prévoir un court résumé (5 à 10 lignes). Celui-ci sera ensuite traduit en espagnol par nos soins.
Situer le sujet : Indiquer les coordonnées en indiquant soit la projection (UTM, Lambert…) et le système utilisé (ETRS 89, WGS 84, NTF…) soit le code EPSG si vous le connaissez (voir https://georezo.net/wiki/main/dico/epsg), la commune, le département, le massif.
Si possible, joindre une carte de situation avec tracé des conduits.
Indiquer la spéléométrie de la cavité (développement topo, dénivellation)
Ne pas oublier les travaux antérieurs (historique).
Possibilité de mettre des Encarts pour compléter le texte principal (à mettre en fin de fichier principal ou dans un fichier à part)
Noms et prénoms en toute lettre (une note de bas de page peut permettre de préciser leurs qualités).
Lorsqu’il y a plusieurs auteurs, leurs noms/prénoms sont classés par ordre alphabétique sauf si le groupe d’auteurs désigne un auteur principal qui sera placé en premier.
Dans la mesure du possible structurer le texte avec des paragraphes et des titres et sous-titres.
Si vous souhaitez les hiérarchiser en les numérotant, utilisez la forme 1, 1.1, 1.2, 2, 2.1, 2.2 etc…
Celle-ci doit être conforme à la norme Iso 690 qui définit la manière de présenter une référence bibliographique (bien respecter les caractères en majuscule et ceux en Italique) :
NOM, Prénom des auteurs, année de publication. Titre de l’article. Nom de la revue. Volume, numéro, pages. Disponible en ligne sur : adresse web (si l’article est en ligne).
Exemple :
DUVAL, Robert, MARTEL, Julie, 2012. La grotte des Choucas. Pyrénées Souterraines. N° 56, page 235.
Toujours indiquer le ou les auteurs du cliché
Prévoir une légende
Prévoir une légende et une numérotation (Figure 1, figure 2…) permettant un renvoi dans le texte (voir fig. 1).
Indiquer le nom de la cavité, la commune, le massif
Indiquer le type de représentation : plan, coupe développée, coupe projetée (avec le ou les angles de projection), coupe transversale
Prévoir une échelle graphique
Si possible orienter la topographie de manière à ce que le nord pointe le haut de la feuille.
Ne pas oublier de mentionner le type de nord choisi (magnétique avec date, géographique, UTM, Lambert etc.). Le nord géographique est à privilégier.
Si possible utiliser les symboles normalisés (UIS) et ne pas oublier de mettre une légende pour les autres symboles.
Mettre le nom des topographes et le nom du club.
Pas de cadre
Aucun article sous format PDF ne peut être accepté.
Eventuellement un tirage PDF présentant des indications de mise en page peut être joint aux autres fichiers.
Textes, figures, tableaux, notes, légendes et illustrations sont transmis sur des fichiers différents.
Formats acceptés :
Il est toujours préférable de transmettre les images, photos, topos et figures diverses dans leur format natif (Illustrator, photoshop, Gimp etc…) et de joindre une version standard dans un format universel (jpeg, jpg, tiff, gif etc.). Cela facilite le travail de mise en page et par exemple, l’adaptation de la taille des textes en cas de réduction.
Pour les photos nous préférons disposer du cliché original, sans compression ni retouche. Eviter les formats raw.
Pour les textes, privilégier les formats classiques type word, open office etc.
